Quel sera l’impact de l’EURO 2020 sur l’environnement en raison de la multiplication des déplacements

L’EURO a toujours été un événement capital dans l’histoire du football, où vous pouvez toujours placer un pari. Dans un an, pour la prochaine édition de du championnat européen, l’événement va prendre une très grande tournure. En effet en 2012, Michel Platini, ancien joueur des Bleus et aujourd’hui patron de l’UEFA, avait décidé que cette fois-ci le Championnat d’Europe des Nations de football aurait lieu dans plusieurs grandes villes d’Europe, plus précisément dans 12 pays différents. La décision étant déjà validée par le comité exécutif de l’UEFA ne fait pas l’unanimité pour certains. Par exemple Jérôme Valcke, secrétaire général de la FIFA. Il avait exprimé que cette décision « détruit l’esprit de la compétition ». Pour les supporteurs, leur inquiétude se porte sur le fait de partir dans un pays sans pour autant en profiter. Pour certain, c’est l’impact de l’EURO 2020 sur l’environnement en raison de la multiplication des déplacements qui leur préoccupe. Voici un argument de cette dernière opinion. Mais d’abord, pourquoi avoir pris cette décision ?

Pourquoi avoir entamé un tel changement ?

Pour Platini, l’idée est claire, pour éviter de dépenser plusieurs milliards de dollars sur la construction des infrastructures selon la norme telle que : des stades, des hôtels, aéroports ou autoroutes. Pour lui, le fait de choisir les grandes villes d’Europe, celui qui possède déjà ces différentes infrastructures, limite les dégâts du grand événement comme la possibilité de retards. En plus, un tel événement représente une très grande recette. Avec plus de 2,5 millions de spectateurs attendus, l’enjeu est de taille. Répartir les matchs dans différents pays d’Europe fait équilibrer la finance.   Sur ce point de vue, le concept présent de nombreux avantages. Mais pas que !

L’impact de l’EURO 2020 sur l’environnement

Première dans l’histoire du football européen. Pour célébrer le 60e anniversaire de la compétition, L’EURO 2020 se déroulera dans 12 nations différentes du continent européen : Angleterre/Londres, Azerbaïdjan/Bakou, Danemark/Copenhague, Allemagne/Munich, Hongrie/Budapest, Italie/Rome, Pays-Bas/Amsterdam, République d’Irlande/Dublin, Roumanie/Bucarest, Russie/Saint-Pétersbourg, Écosse/Glasgow, Espagne/Bilbao. Un tel événement dégage certainement des effets négatifs sur notre environnement : l’éclairage, la climatisation, le chauffage, l’entretien des pelouses, les déchets de la consommés pendant l’événement et surtout la pollution de l’air produite par le multiple déplacement. Que vous envisagez de vous déplacer en voiture, en avions ou par voie ferroviaire, l’inconvénient est toujours néfaste. Prenons l’exemple de l’automobile et de l’aviation.

· La voiture : un moyen de transport favori, mais polluant. Les nuisances de l’automobile sont la pollution de l’air et la pollution de l’atmosphère (transmission de gaz à effet de serre). Des impacts non négligeables sur l’environnement. Actuellement, le transport routier demeure le principal responsable de la pollution primaire de l’air selon les sondages. Presque la moitié des agents polluants sont émis par les véhicules. Alors vous imaginer le résultat si plus de 2,5 millions de fans se met en route pour assister à l’événement ?

· L’aviation : même si l’avion est défini moins polluant que la voiture, il est resté le champion de la pollution. Son impact est invisible, mais destructible. Un kérosène nocif par exemple entraîne un réchauffement climatique donc une dégradation de la faune et la flore.